Lors d’une rencontre avec le gouvernement, les étudiants, par la voix de leur représentant Adama Sow Kebe, ont dénoncé leurs conditions d’étude difficiles et plaidé pour un dialogue plus inclusif avec les autorités.

Une convocation précipitée et un manque de concertation

Adama Sow Kebe a d’abord regretté « une convocation en moins de 24 heures », estimant que les étudiants ne doivent pas être traités comme de simples spectateurs dans les discussions sur l’avenir du pays.

Des conditions d’étude de plus en plus précaires

Face au Premier ministre, il a dressé un tableau préoccupant de la situation universitaire, marquée par un manque criant de ressources et des infrastructures inadaptées. « Il est impératif d’organiser une rencontre dédiée aux étudiants pour nous permettre de proposer des solutions », a-t-il plaidé, appelant le gouvernement à prendre en compte leurs préoccupations.

Un appel à un engagement concret

Les étudiants réclament des actions à la hauteur des défis auxquels ils font face, insistant sur la nécessité d’un effort significatif pour améliorer leurs conditions de vie et d’étude. Cette interpellation met une fois de plus en lumière les attentes d’une jeunesse en quête de meilleures perspectives.

Par: Colylamine

Redaction: Dakmedina.com