TFM est derrière les insultes sur les nouvelles autorités! Ku wax feeň
mars 25, 2025
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La sortie de Bouba Ndour, Directeur des programmes de TFM, suite aux propos insultants de Badara Gadiaga contre le Premier ministre Ousmane SONKO et le député Amadou Ba,
La sortie de Bouba Ndour, Directeur des programmes de TFM, suite aux propos insultants de Badara Gadiaga contre le Premier ministre Ousmane SONKO et le député Amadou Ba, est une démonstration éclatante du manque de responsabilité de ce média. Plutôt que de reconnaître la faute et de s’excuser, TFM joue aux équilibristes, cherchant à minimiser la gravité des faits et à détourner l’attention.
Bouba Ndour adopte une posture hypocrite en prétendant que les propos n’engagent que leur auteur. Cette tentative grossière de dilution de responsabilité est un aveu à peine voilé du laxisme éditorial de TFM. Un média digne de ce nom contrôle ses contenus, veille au respect de la déontologie et assume pleinement ce qui est diffusé à l’antenne. En refusant de condamner fermement les propos de son chroniqueur, TFM cautionne, voire encourage, les dérives verbales et la banalisation de l’injure comme mode d’expression publique.
Pire encore, Bouba Ndour se drape dans une fausse neutralité en appelant à la retenue, comme si les indignations légitimes face à des attaques aussi ignobles relevaient de l’excès. Bouba tente maladroitement d’inverser les rôles : la victime devient le problème, et l’auteur des insultes est déresponsabilisé. Une stratégie classique des médias qui, sous couvert de pluralisme, ouvrent leurs plateaux aux discours les plus violents et polarisants tout en feignant l’objectivité.
TFM ne se cache plus : elle est devenue une tribune offerte aux insulteurs du régime, un espace où l’invective prime sur le débat et où l’impunité est garantie pour ceux qui s’attaquent aux nouvelles autorités. Le gouvernement et les autorités compétentes doivent prendre leurs responsabilités ou nous militants de PASTEF nous réglerons le problème si GFM continue de faire insulter le Premier Ministre et Président de PASTEF. Il ne s’agit pas de museler la presse, mais d’exiger d’elle un minimum de rigueur et d’éthique, loin des jeux d’équilibrisme auxquels Bouba Ndour s’adonne avec un cynisme inquiétant.