Les Sénégalais souffrent dignement . Ils sont dans un goulot d’étranglement chronique, car l’éducation est en panne , l’agriculture ne nourrit pas les paysans, l’emploi est au chômage , la santé est malade .

La jeunesse est désespérée. Elle est coincée entre des discours caméléons de l’autorité , elle continue à regarder d’autres horizons.

Les classes moyennes qui espèrent revoir le jour avec le pétrole et le gaz vont devoir prendre leur mal en patience.

Par ailleurs Le Sénégal est toujours dépendant des dettes qui l’agonie sans bruit ni trompette .

Notre pays cherche désespérément la clémence du FMI malgré les discours de ruptures de souverainetés tant chanté et promis par l’ autorité.

Notre État subit, elle ne maîtrise pas le tempo des institutions internationales qui à coup sûr risque de nous conditionner sa collaboration à notre désavantage SI collaboration doit avoir lieu .

Notre pays a besoin d’une discipline intellectuelle et d une ouverture sans condition car le Sénégal 🇸🇳 se construit avec toutes ses filles et fils quelque soit leur appartement ou engagement ou non politique.

La véritable rupture est de sortir les Sénégalais des difficultés quotidiennes primaires : manger, se soigner, aller à l école, avoir une formation et un emploi sont aujourd’hui classée dans les rubriques quasi impossibles.

Les Sénégalais doivent cultiver l humanisme, travailler pour une justice sociale et pour la paix qui sont des garanties d’une nation Sénégalaise développée .
La patrie avant les partis doit être inscrite dans notre constitution pour tout élu de la tête de la République du Sénégal 🇸🇳.

Sénégal 🇸🇳 Moma Ñor

Ousmane KANTE
Conseiller municipal et leader du mouvement Medina Moma Ñor